Les Ethereum Layer 2 grugent-ils les revenus du réseau principal ?

Actuellement, il y a beaucoup de débats et de discussions sur l'impact des solutions de couche 2 sur l'écosystème Ethereum.

L'impact des solutions de couche 2 (L2) sur l'écosystème Ethereum (ETH) est devenu un sujet de débat houleux, certains affirmant que les plates-formes L2 grugent les revenus du réseau principal.

Au fur et à mesure que le récit se déroule, les analystes de marché ont partagé leurs points de vue sur la question. Leon Waidmann, responsable de la recherche au siège social d'On-chain, a déclaré que les L2 affectent les revenus à court terme.

Il estime cependant que leur potentiel à long terme est encore largement sous-estimé. Selon un graphique partagé par Léon, l'adoption des L2 augmente rapidement.

Cela suggère qu'ils jouent un rôle crucial en rendant la technologie blockchain plus accessible au grand public, a-t-il ajouté.

Malgré la baisse des revenus à court terme, l'écosystème au sens large se développe avec l'ETH en son cœur, stimulant l'activité économique sur la plateforme en tant que forme de monnaie numérique mondiale, a déclaré Leon.

L'un des abonnés de Léon sur la plateforme X a également soutenu ses réflexions, déclarant que si les revenus comptaient, le BTC serait évalué à presque zéro.

Selon l'adepte, l'effet Lindy, la légitimité, la décentralisation et la résistance à la censure sont des facteurs plus importants.

Récemment, le co-fondateur d'Ethereum, Vitalik Buterin, a également mentionné qu'il n'était pas intéressé par l'investissement ou la détention de jetons L2.

Pendant ce temps, le chef de VanEck dénigre les critiques, le chef de VanEck dénigre les critiques, dénonçant la pêche à la traîne constante et les critiques continues d'Ethereum (ETH).

Matthew Sigel, responsable des actifs numériques de VanEck, a critiqué les critiques, qualifiant leur comportement de « épuisant et intellectuellement malhonnête ».

Dans une analyse récente, Sigel a souligné l'importance de la « monnaie » pour les blockchains de couche 1 (L1) comme ETH et Solana (SOL).

Il a expliqué que dans la finance traditionnelle, la valorisation des actions d'une entreprise est largement déterminée par son ratio cours/bénéfice (PE). Dans l'industrie de la cryptographie, ce concept se traduit par la façon dont le jeton sert de réserve de valeur, de moyen d'échange et d'unité de compte au sein de son écosystème.

Sigel a déclaré que l'ETH fonctionne comme monnaie de base pour le réseau Ethereum. L'altcoin est utilisé pour payer les frais de transaction et maintenir le contrôle sur le système grâce aux opérations de validation.

Cet utilitaire principal est à l'origine de son utilisation plus large dans la finance décentralisée (DeFi) et d'autres services.

En comparant ETH à SOL, Sigel a noté que si ce dernier bénéficie de frais moins élevés, ce qui peut améliorer sa rentabilité, le premier étend sa capacité grâce à des solutions L2 pour réduire les coûts d'utilisation et augmenter l'activité économique.

Outre les problèmes de revenus, des inquiétudes ont été exprimées concernant une baisse de la demande institutionnelle pour Ethereum (ETH).

Vendredi, VanEck a décidé de clôturer sa demande d'ETF à terme Ethereum en raison de la baisse de la demande.

Les institutions se sont également retirées des ETF à terme ETH, l'ETF VanEck ayant enregistré des sorties de plus de 500 millions de dollars depuis son lancement fin juillet.

De plus, la récente vente d'ETH par la Fondation Ethereum a créé un sentiment négatif autour de l'altcoin.

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