L'ancien président Donald Trump a fait de l'inflation une question centrale dans sa critique continue de la politique économique de l'administration Biden. Alors que l’inflation continue d’être une préoccupation pressante pour de nombreux Américains, Trump s’est engagé à s’attaquer à la hausse du coût de la vie s’il est réélu.
L’ancien président Donald Trump a vivement critiqué la gestion de l’inflation par l’administration Biden, s’engageant à lutter contre la hausse du coût de la vie s’il est réélu. Les remarques de Trump interviennent alors que la Réserve fédérale envisage une éventuelle réduction des taux d’intérêt en septembre, une décision qui pourrait avoir des implications significatives pour l’économie américaine.
Trump a toujours ciblé la question de l’inflation dans sa critique continue de la politique économique du président Joe Biden. Dans des déclarations récentes, Trump a accusé Biden et la vice-présidente Kamala Harris de ne pas avoir pris de mesures efficaces pour contrôler la hausse des prix qui a affecté les consommateurs à travers le pays.
Publiant sur sa plateforme Truth Social, Trump a qualifié la situation économique actuelle de « cauchemar d’inflation » et s’est engagé à réduire le coût de la vie s’il revient au pouvoir. Il a également visé la vice-présidente Harris, l'accusant d'être largement inefficace dans la résolution de problèmes clés tels que l'inflation, l'économie et la sécurité des frontières.
« Kamala est dans l’administration maintenant ! Elle ne fait que se plaindre de la terrible frontière, de l’économie et de l’inflation. Pourquoi ne le répare-t-elle pas maintenant ? Parce qu’elle ne peut pas – elle n’en a aucune idée ! Trump a posté.
Alors que Trump intensifie ses attaques contre l’administration Biden, la Réserve fédérale est également sous pression pour relever les défis économiques du pays, en particulier l’inflation. La banque centrale envisage actuellement la possibilité d’une baisse des taux lors de sa prochaine réunion en septembre, les analystes débattant de l’ampleur d’une telle décision.
La Réserve fédérale a déjà augmenté les taux d'intérêt à plusieurs reprises ces derniers mois dans le but de freiner l'inflation, mais avec des résultats mitigés. La possibilité d'une réduction de 50 points de base (pdb) en septembre est envisagée, même si certains analystes prédisent une baisse plus modeste de 25 pdb. Le résultat dépendra probablement des données économiques à venir, notamment l’indice des prix à la consommation (IPC) et l’indice des prix à la production (IPP), qui devraient être publiés dans les semaines à venir.
La présidente de la Réserve fédérale de Boston, Susan Collins, a indiqué que la banque centrale surveillait de près ces chiffres afin de déterminer la marche à suivre appropriée. L’IPC, une mesure clé de l’inflation, devrait afficher une légère augmentation à partir de juin, mais la tendance générale pourrait indiquer un ralentissement de la croissance des prix.
Les données de l’IPC et du PPI, dont la publication est prévue la semaine prochaine, seront essentielles pour déterminer la décision de la Réserve fédérale de réduire ou non les taux d’intérêt. L'IPC devrait augmenter de 0,2 % par rapport à juin, ce qui représenterait une légère augmentation. Parallèlement, le PPI, qui mesure les prix que les producteurs reçoivent pour leurs produits, fournira également un aperçu du paysage économique global.
Les investisseurs et les analystes de marché surveillent de près ces indicateurs, car ils joueront un rôle central dans la détermination des prochaines étapes de la banque centrale. Les contrats à terme affichent actuellement une probabilité de 54,5 % de voir une baisse des taux de 50 points de base en septembre, reflétant l'anticipation du marché d'une décision significative de la Fed.
Au-delà des débats économiques, la prochaine élection présidentielle de 2024 s’annonce également influencée par le climat économique actuel. Un récent sondage mené par le Trafalgar Group en Caroline du Nord entre le 6 et le 8 août 2024 révèle que Trump mène actuellement le vice-président Harris dans une hypothétique confrontation aux élections générales.
Selon le sondage, Trump a obtenu 48,9 % des voix, tandis que Harris en a obtenu 45,2 %. Robert Kennedy Jr., qui se présente également comme candidat indépendant, a recueilli 3,2 % des voix. Les électeurs restants étaient soit indécis, soit ont opté pour d'autres candidats. Ce sondage reflète l'importance des enjeux économiques, notamment de l'inflation, dans l'esprit des électeurs à l'approche des élections de 2024.
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